![Allée Ailleboust de Coulonge - Cette magnifique allée du parc du Bois-de-Coulonge avait initialement été nommée « Elgin » en l’honneur de James Bruce, comte d’Elgin, gouverneur du Canada de 1848 à 1854.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/sillery-photo-allee.jpg)
![Grand parterre du parc du Bois-de-Coulonge, sa fontaine et ses massifs de fleurs. La fontaine serait vraisemblablement une reproduction de la fontaine circulaire de marbre blanc qui décorait jadis le jardin fruitier du gentilhomme Henry Atkinson.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/sillery-photo-parterre.jpg)
![Kiosque dans le parc du Bois-de-Coulonge, une reproduction fidèle du kiosque construit par le marchand de bois Henry Atkinson, dans les années 1830.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/sillery-photo-kiosque.jpg)
![Étang et passerelle dans le parc du Bois-de-Coulonge aménagés dans la tradition pittoresque qui avait cours au 19e siècle en Angleterre.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/sillery-photo-passerelle.jpg)
![L’industrie du bois dans les anses de Sillery a débuté à la fin du 18e siècle, connu son apogée vers 1860, puis a décliné avec le remplacement des coques de bois par l’acier et la substitution des voiles par la vapeur. Elle s'est éteinte en 1910. John Thompson, 1891.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/John_Thomson_300_web375.jpg)
![Monument souvenir au Ve centenaire du martyre de l’héroïque pucelle d’Orléans, 1431-1931, dans le domaine des Soeurs de Sainte-Jeanne d’Arc, un vaste parc, en partie boisé et en partie gazonné. Le monument est l’oeuvre de Jules Déchin, 1931.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/Jeannne-darc.jpg)
![La splendeur de l’ancien domaine Spencer Wood, devenu Bois-de-Coulonge, se perpétue dans ses immenses jardins qui font la joie des promeneurs. Cette dépendance a survécu à l’incendie qui détruisit la villa du lieutenant-gouverneur en 1966.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/Bois-de-Coulonge.jpg)
![Une « charcotte », vestige de l’époque de l’industrie du bois qui connaît son apogée en 1860. Il est possible d’emprunter ce sentier qui serpente dans la falaise et de parvenir au chemin du Foulon à partir du domaine Cataraqui, comme on le faisait jadis.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/charcotte.jpg)
![Les anses de Sillery sont favorables au stockage des billes qui sont flottées sur le Saint-Laurent depuis l’Outaouais avant d’être expédiées en Grande-Bretagne. Cape Diamond and Wolfe’s Cove from Pointe a Pizeau, détail, James Pattison Cockburn, 1833.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/anses_de_Sillery.jpg)
![Maison des Jésuites, façade sud, anglo-américaine - La femme de lettres Frances Moore Brooke y a vécu et rédigé son roman The History of Emily Montague qui parut à Londres en 1769, puis à Paris, en 1809, sous le titre Voyage dans le Canada.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/maison_jesuites_sud.jpg)
![Maison des Jésuites, façade nord, de tradition française - Ouverte en 1638 pour sédentariser et évangéliser les Amérindiens, la mission Saint-Joseph est fermée en 1690. Face aux épidémies, les Amérindiens retournent en forêt et les Jésuites à Québec.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/maison_jesuites_nord.jpg)
![Noël Brulart de Sillery, chevalier de Malte, prêtre et membre de la Compagnie des Cent-Associés, a contribué à l’établissement de la mission Saint-Joseph de Sillery en accordant aux Jésuites un fief et une somme de 12 000 livres, en 1637.](http://silleryenfete.com/wp-content/uploads/2012/02/Brulart.jpg)
Une histoire, un patrimoine, une communauté
Née de l’établissement d’une mission des Jésuites et du commerce du bois, Sillery présente aujourd’hui plusieurs visages. Sous des airs de banlieue résidentielle, on y retrouve également des fonctions commerciales, institutionnelles et récréotouristiques qui se côtoient sur un territoire fortement marqué par son histoire.
Le territoire qui a été jusqu’en 2002 la ville de Sillery, se situe en bordure du fleuve Saint-Laurent, entre les anciennes villes de Québec et Sainte-Foy. La présence du littoral, lequel représente plus de 7 kilomètres de berge, est une composante majeure de son territoire qui a influencé largement le développement de la communauté au fil des ans.
Une communauté riche en histoire.
En 1637, le nom de Sillery apparaît pour la première fois en Nouvelle-France. Noël Brûlart de Sillery, personnage influent de la cour de France, fait don aux Pères Jésuites d’une parcelle de terrain pour y établir une mission. Celle-ci a comme but principal la conversion des Amérindiens au catholicisme et par la même occasion leur sédentarisation. C’est pour cette raison d’ailleurs qu’ils choisissent l’anse Kamiskoua-Ouangachit fréquentée par des tribus amérindiennes qui y pratiquaient la pêche à l’anguille depuis des millénaires.
Sillery est maintenant tournée vers les défis que constituent la préservation et la mise en valeur de son milieu de vie résidentiel, la conservation de son patrimoine historique et l’aménagement du littoral du Fleuve Saint-Laurent.
Un des éléments qui contribue le plus à la qualité de vie de Sillery est sans aucun doute l’importance accordée aux espaces verts. Une de ces belles manifestations de verdure est le Parc du Bois-de-Coulonge. Ancienne résidence du Lieutenant-gouverneur du Québec, il est depuis le rendez-vous des amants de la nature. Son site magnifique est parsemé de superbes jardins qui rappellent le faste d’autrefois.
Une qualité de vie remarquable.
Non Multa Sed Multum, devise de l’ancienne ville de Sillery, signifie : C’est la qualité qui compte et non la quantité. Plus qu’un territoire, la communauté de Sillery regroupe 375 ans d’histoire enrobée d’un riche patrimoine architectural où l’on retrouve une qualité de vie et un environnement paisible, en bordure du fleuve Saint-Laurent. Un quartier de la capitale qui se démarque par la qualité de son architecture, son aménagement et ses arbres et espaces verts. On y retrouve un secteur d’affaires important, une présence institutionnelle marquée et une communauté dynamique et impliquée dans une région en croissance continue. Sillery est une communauté où il fait bon vivre.